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La traversée des Alpes à pignon fixe, Born to be ride 2014

Le 12 juillet 2014 à midi, Thierry Saint-Léger et Simon Kirscher s’élançaient d’Evian pour rallier Nice à pignon fixe, un très beau défi.
YouTube Le Vélo Urbain

Face à Thierry Saint-Léger (56 ans) et Simon Kirscher, (27 ans) 56 heures d’effort non-stop à travers les Alpes via un itinéraire de 676 km passant par 17 grands cols alpins et d’un dénivelé positif cumulé de 15 827 mètres. Pour en savoir plus, allez lire notre article : La traversée des Alpes en pignon fixe. Voici le teaser des membres de La Compagnie des Pionniers, on attends la suite.

On July 12, 2014 at noon, Thierry Saint-Léger and Simon Kirscher left Evian with the aim to join the city of Nice with fixed gear. Facing them, a non-stop effort of 56 hours through the Alps via a route of 676 km and 17 major alpine passes for a cumulative elevation gain of 15,827 m.

La traversée des Alpes à pignon fixe, Born to be ride 2014

9 Commentaires

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  • je vois pas trop l’intérêt de se faire les alpes en pignon fixe. ça va à l’encontre de l’esprit du vélo qui reste pour moi la liberté car avec du matériel pas adapté il faut faire des compromis… c’est juste un défi de bobo hipster pour dire on roule en fixe même en montage. C’est dangereux et pas forcément bon pour la santé. Rouler en fixe toute l’année c’est juste bon à se détruire les genoux et se fracasser dans les bagnoles…. Mais c’est branché…
    Autre défi à la con : Faire une descente de coupe du monde en cyclocross….

    • J’ai tenté, en fixe of course!, un Paris-Wissant (village entre Boulogne-sur-mer et Calais; quasiment leur trip, mais en trois jours – 18-19-20 juillet dernier), trip qui n’a finalement pas été fini par manque de préparation notamment et par une première journée de 115 bornes sous 38 degrés: on n’a fait qu’une grosse moitié.
      Eh bien, je peux dire que rouler en campagne en fixe, c’est juste ouf! Je compte bien sûr me refaire des roadtrips dans ce genre, et c’est clair que jamais je ne passerai sur vélo de route!! Il y a une telle puissance, un tel ressenti du pédalage – c’est presque con à dire, mais “t’es vraiment en communion avec ta monture man!” – que pour rien au monde, je ne me risquerais à prendre un route de peur de perdre ce feeling unique. Et c’est d’ailleurs pour ça que je roule brakeless (avec des pédales auto, pour assurer un minimum).
      Après, vous l’aurez compris, je suis pleinement convaincu, converti dirai-je même, donc mon avis n’est plus du tout objectif. Mais il n’empêche, le pignon fixe, le vrai, ça n’a pas son pareil dans le vélo, et dans un sens positif, que ce soit en ville, ou sur de (bien) plus longues distances.

    • Ok, donc:
      – Il est interdit de se lancer un défi.
      – Il est interdit de prendre du plaisir à rouler en fixe et grimper un col.
      – Il est interdit de rouler en fixe autre part qu’en ville.
      – Seuls les “bobo hipsters” roulent en fixe en ville (au passage, je serais curieux de voir à quoi ressemble le fameux “bobo hipster”…)

      Il y a autre chose qu’on a pas le droit de faire sous peine de se faire taxer de bobo branché / hipster parisien ?

      L’argument du manque de sécurité, j’ai du mal à le comprendre. Ils ont une voiture qui les accompagne avec la visibilité adaptée (jaune + gyro..difficile de faire mieux) et ils ne roulent pas breakless.

      Ridicule.

  • si y a bien une chose que je ne suis pas, c’est “branché”… pourtant je roule en fixe toute l’année depuis 4 ans, après 20 piges à avoir roulé 15000 bornes par an avec une roue libre et/ou un dérailleur… ben je les fais toujours, et le trip d’au-dessus me plait bien… faut arrêter avec les amalgames et les idées toutes faites, c’est lourd

  • Super ! demain je me fais le Mont Blanc en tongue … Et ouais on fait peut être des amalgames, mais je suis comme Alex , l’idée de faire des cols en fixe me paraît aussi inadapté et purement à la mode bobo que de ce faire une randonnee en montagne en tongue !

  • @ Zephyr et Alex, vous réagissez avec une étroitesse d’esprit. C’est bizarre, quand on pratique régulièrement le Pignon Fixe, cela parait plus évident, je suppose donc qu’il vous manque des coups de pédales. Ça parle de Sport pas de mode Bobo.
    Ces personnes s’y sont préparés, ont adapté leurs ratio, avec une équipe les accompagnant pour assurer suivi& sécurité, et du matériel haut de gamme.
    Le Pignon Fixe, c’est aussi l’Art du Défi. Et là ils ont réalisé un beau défi.

    • Je suis assez d’accord avec Daniel. On parle ici d’un défi, d’une aventure, d’un exploit presque… On voit certaines personnes traverser l’Atlantique à la nage (et pourtant en avion ça ne prend que 6h..!). Ce qui compte avant tout, c’est la motivation de ces personnes à réaliser un rêve.

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